On discute à l’infini des mérites comparés d’une solution inutile (rendre perpétuelle la dette déjà détenue par les banques centrales) et d’une solution impossible (annuler toute la dette passée) à un problème qui ne se pose pas (de toute façon, la dette passée ne sera jamais remboursée). On devrait s’intéresser davantage au financement des dépenses futures pour les services publics. Tribune publiée dans L’Humanité dimanche du 16 janvier 2021.
Catégorie : La crise… et les moyens de la conjurer
Version longue de la contribution de Frédéric Boccara à la rubrique « Débats et controverses » dans L’Humanité du 11 janvier 2021
Appel de militants des banques, des assurances et des Finances publié dans LHumanité du 18 décembre 2020
Sauver les TPE-PME que la crise a placées au bord du gouffre ? On n’y parviendra pas dans une logique de soutien à la rentabilité. Il faut au contraire un dispositif d’urgence puissant pour réduire le coût du capital.
Cette crise sanitaire, agissant sur un terrain hyper fragilisé, exacerbe les effets dévastateurs d’une crise de système ébranlant tous les pans de la société et pousse à un éclatement des structures et des institutions économiques, écologiques et sociales, politiques et démocratiques encore existantes.
La baisse des recettes publiques causée par la chute de l’activité et les dépenses supplémentaires engagées depuis l’arrivée de la pandémie ont augmenté la dette publique de près de 200 milliards d’euros. Aujourd’hui, on entend…
La Lettre du RAPSE n°164 est parue ! Au sommaire : la SEF en 5 points, le point sur la crise du marché du travail en France au troisième trimestre…
Consulter l’interview de Frédéric Boccara dans Avant-Garde
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a adopté le 13 octobre son avis L’hôpital au service du droit à la santé, sur un rapport de Sylvie Castaigne, Christine Tellier et Alain Dru. Frédéric Boccara est intervenu en séance plénière au titre du groupe des personnalités qualifiées
Un rapide examen des crédits inscrits au titres des dépenses du projet de loi de Finances 2021 confirme combien le discours gouvernemental sur le « plan de relance » est loin de la réalité budgétaire.