La baisse des recettes publiques causée par la chute de l’activité et les dépenses supplémentaires engagées depuis l’arrivée de la pandémie ont augmenté la dette publique de près de 200 milliards d’euros. Aujourd’hui, on entend dire de plus en plus que c’est trop, et que le remboursement de cette dette va coûter cher aux contribuables, c’est-à-dire aux salariés. Que faire de cette dette publique ? Économie et politique fait le point.